Archive for the ‘Vilette’ Category

um passeio

Maio 24, 2010

Cully – Lavaux

Maio 23, 2010

La grappe de raisin n’est-elle pas la représentation la plus significative de ce magnifique vignoble, connu bien au-delà de nos frontières pour sa beauté certes, mais aussi et surtout pour ses vins délectables, vignoble au sein duquel est située notre bonne ville, dans ce merveilleux coin de pays où il fait bon vivre, s’arrêter, cette région qui inspire tout naturellement la fraternité et la gaieté

Cette commune baignée par le bleu Léman, comme aime à le chanter le poète, qui se reflète dans le chatoyant miroir qu’il forme, est aussi cette terre qui inspire depuis tous les temps écrivains, peintres, penseurs et musiciens qui, dès lors, en ont fait, en font et en feront l’un de leurs leitmotivs.

Cully, c’est aussi, outre ce coteau tapissé de vignes, ces étendues agricoles, en arrière-plan, et ces forêts qui, là-haut, s’installent confortablement et qui veillent, telle une sentinelle, sur le territoire qu’elles dominent.

Il s’agit donc, en quelque sorte, d’un immense théâtre, composé de quatre tableaux changeant au cours des saisons, et dont les mille couleurs enchantent le visiteur, mais également les habitants qui ne s’en lassent jamais.


Le territoire de la commune compte au total plus de 90 hectares de vignes. La commune de Cully, pour sa part, en possède 3.2. Elle est en outre propriétaire de 5.3 hectares sur les communes de Villette, Grandvaux, Riex et Epesses, ce qui représente un total de 8.5 hectares, soit 190 fossoriers (1 fossorier = 450 m2), répartis en trois domaines

As Vinhas do Vaud – Grandvaux

Maio 22, 2010

Grandvaux, commune viticole du district de Lavaux-Oron, s’étend du bord du lac (900 mètres de rives) jusqu’au pied de la Tour de Gourze. Avec son vignoble de 60 ha (en appellation de Villette et Epesses), sa superficie totale est de 347 ha.

Grandvaux, é uma comunidade vitivinicultura do destrito do Lavaux-Oron, e estende-se pelas margens do Lago Léman (900m) até ao supé da Torre de Gourze. com uma areá de 60 hect de apelação de Villete e Epesses a sua superficie total é de 347 hect.


Son renom, Grandvaux le doit à la qualité de ses vins, mais aussi à l’attrait de son site, de son bourg accroché au coteau de Lavaux et de ses terrasses naturelles dominant le lac, ainsi qu’à la réputation gastronomique de ses 7 établissements publics et à son caveau de vignerons, le « Caveau Corto ».

O seu nome, Grandvaux, é devido á qualidade excepcional dos seus vinhos, mas também pela sua localização atraente como á sua notável gastronomia. Grandvaux pussui inumeras adegas e 7 estabelecimentos publicos ligados á vinha.

Le bourg possède quelques remarquables demeures héritage soigneusement préservé de son passé. Jusqu’en 1824, Grandvaux faisait partie de la Grande commune et paroisse de Villette. La commune politique actuelle compte 2032 habitants, des résidants, des artisans, des vignerons et des agriculteurs, Elle va toutefois se joindre à la nouvelle entité de Bourg-en-Lavaux dans laquelle les 5 communes de l’ancienne paroisse de Villette ont décidé d’unir leur destin. Dot de quelque 5’000 âmes, Bourg-en-Lavaux verra le jour en juillet 2011. La vie culturelle et sociale est assurée par l’engagement des citoyennes et citoyens dans des sociétés locales qui sont autant de centres de loisirs et de convivialité.

Grandvaux est bien connu pour ses vins principalement le Chasselas, ses vins rouges Pinot-Noir et Gamay et quelques spécialités. En visitant Grandvaux vous serez séduit par le panorama enchanteur de la région de Lavaux qui a été reconnue comme site exceptionnel et inscrit au patrimoine de l’UNESCO.

Vinhas – Epesses – Lavaux

Maio 22, 2010

Le terme de Lavaux n’apparaît qu’au 12ème siècle. Lavaux ou « la Vallée » fut d’abord associé à celui de Lutry. En effet une bulle d’Innocent II fait mention en 1138 de « vallis de Lustriaco », expression qui, traduite en français de l’époque, devint « la Vaulx de Lustrie ». Par la suite, ce terme engloba dans les documents les localités voisines : Riex en 1327, Aran en 1329 et Villette en 1330.

Dès lors, « la Vaulx de Lutry » a été couramment employé jusqu’à la fin du 15ème siècle pour désigner exclusivement la paroisse de Villette, soit le territoire qui forme actuellement le cercle de Cully. Ce n’est qu’au début du 16ème siècle que « la Vaulx » se contracta en « Lavaux » et qu’on appliqua ce vocable aux paroisses de Lutry, Saint-Saphorin et Corsier. A ce moment, le nom de Lavaux recouvrait donc l’ensemble des terres appartenant, le long du lac, à l’évêque de Lausanne, et l’expression géographique de Lavaux se doubla au cours des siècles d’un sens politique.

En matière ecclésiastique, Lavaux était divisé en quatre grandes paroisses : Lutry, Villette, Saint-Saphorin et Corsier. Ces communautés se transformèrent plus ou moins vite en associations à caractère mi-religieux, mi-civil, très soucieuses de défendre leurs libertés et franchises.

La conquête bernoise n’apporta pas de profondes modifications ; suivant le système imposé par les nouveaux maîtres, Lavaux devint une partie du baillage de Lausanne. Les quatre paroisses abandonnèrent de plus en plus leur statut religieux pour adopter un caractère purement civil. Lors de la révolution vaudoise, comme partout ailleurs dans le canton, les baillages furent remplacés par les districts. Les paroisses de Lutry, Villette et Saint-Saphorin formèrent alors le district de Lavaux, alors que Corsier fut versé dans celui de Vevey. Les trois cercles actuels du district de Lavaux correspondent aux trois anciennes paroisses.

Le début du 19ème siècle marqua le fractionnement des paroisses de Lavaux. En 1810, Saint-Saphorin fut la première à se diviser en 4 nouvelles communes, Saint-Saphorin, Rivaz, Chexbres et Puidoux. En 1823, Savigny se détacha de Lutry et en 1824, le décret instituant le partage de Villette en 6 communes fut accepté. Pour terminer, signalons que Corsier, ancienne paroisse de Lavaux, fut disloquée en 1829, formant les quatre nouvelles communes de Corsier, Corseaux, Chardonne et Jongny.

Division territoriale de la Paroisse de Villette. Dès le régime bernois, la paroisse acquit un statut purement civil, et l’on parla alors de « Commune générale de Villette ». On faisait tout d’abord une distinction entre le vignoble et les Monts de Villette (actuel territoire de Forel). Le vignoble était ensuite divisé en huit parties appelées « quarts ».